Sarah Morin - Une femme amoureuse de deux hommes

L'école + Pendant mes années de primaire et secondaire, j'étais l'élève : Disciplinée mais ayant des Difficultés. Après plusieurs années tumultueuses, passé à ne pas comprendre ce que je faisais de travers. J’ai finis par rencontrer un professeur, qui a réussi à me faire réaliser, que je n’avais pas de problème, le problème étant le comportement de certain professeur, qui ne faisaient rien pour m’aider à réussir ou encore ses pseudos camarade qui ne se complaisent que dans la méchanceté de descendre les personnes. Malgré ces problèmes, je conserve de très bon souvenir de chaque année passé en primaire et secondaire un sourire, une personne, un professeur, une situation ou ces histoires vécues pendant nos voyages scolaire. J’ai tenté de ne garder en tête que les bons souvenirs, ceux que j’espère garder en mémoire le plus tard possible, d’ailleurs.

La Nature + J’aime être entouré, mais il m’est nécessaire d’avoir des moments seule avec moi-même, au calme. Pour me retrouver, me ressourcer et reposer.  J’adore le chant des oiseaux. Cela m’apaise. Je vous parle de ces oiseaux qui chante au petit matin et échangent, pas ceux qui piallent pendant la journée dans un arbre remplit. J’adore marcher pied nue dans l’herbe de mon jardin.

La cuisine + Du plus loin que je m'en souvienne, j'ai pris plaisir à cuisinée et patisser avec ma mère. Elle me mettait un tablier de grand, me faisait monter sur un tabouret et me donnait des tache simple à accomplire, juqu'à ce qu'on fasse les recette à quatre main. D'ailleurs.elle m'a apprit une recette qu'elle tenait de sa mère, qui la tenait de sa mère, enfin qui remonte à très loin, de soupe de poulet au vermisel, une recette qui se fait à quatre mains pour bien mélanger les vermicelles. Depuis je la refais avec ma fille et j'ai ajouté mes propre recette au livre familial.

Mes deux amours + J'ai rencontré mes deux meilleurs amis en prématernelle, j'étais étonné de voir deux clones et intrigué surtout n'ayant jamais vue de jumeau au par avant. Et si Nathanaël attirait les regard, c'est vers Nathéo que je m'étais dirigée désireuse de le rassurer aussi. Nous trois ça a directe collé. Trois inséparables, qui le jour où mon mari m'a demandé de me mettre en couple avec lui aurait pu voir leur rapport changer, mais non. Nous étions heureux tous les trois, chacun à sa place... Jusqu'au jour où j'ai réalisé que j'avais été attiré par du vent. Préférant  les apparence à ce que chacun était vraiment au fond. Car s'ils sont identique comme deux gouttes d'eau physiquement, et que j'ai toujours, sans pouvoir l'expliqué, su faire la différence. Ils étaient tout deux bien différent. Tout deux fort de personnalité différente à par entière. c'est alors que je finis par ouvrir mon cœur à mon beau-frère et que ce qui devait arriver arriva... Mon beau-frère devenant l'amant de la femme de son frère... Le pire? Je suis devenue maman, mais le frère que je pense être le père, est l'oncle et l'oncle et le père... Voilà notre secret.

Ma fille + Bien qu'on dit tel père telle fille, et bien que lorsque son papa est là, notre Eli est collé à lui. Nathanël étant souvent absent Elie et moi avons construit un relation assez fusionnelle. Elle m'imite parfois et moi je la chouchoute un peu trop surement. Je suis une maman qui tient son rôle de mère comme elle peut. J'adore m'occuper d'elle et prendre soin d'elle. On se fait des moments à nous. J'essaie de tout faire pour qu'elle se sente de se confier à moi, quand elle en ressentira le besoin.

Je suis une personne sur qui vous pouvez compter, je reste joignable de jour, comme de nuit. Joignable, ne signifie pas que je répondrais toujours à votre appel. Tout simplement parce je dors quelques heures dans les 24 heures.  Je ne m'énerve pas facilement loin de là. Je suis assez patiente et douce. D'ailleurs, je cherche toujours un moyen de trouver une solution calmement, J'essaie d'être le plus diplomate possible, même si parfois c'est difficile. J'aime tout le monde et accepte tout le monde. Enfin, je reste humaine et déteste donc certaines choses et individus, comme l'injustice, les hypocrites, les violeurs, raciste, pédophile et compagnie. Si une chose me déplaît ça se voit.

Je lis entre les lignes. Je prends conscience de chose avant que les personnes, généralement, n'ose m'en parler, pour autant, je les laisse m'en parler d'eux même, à moins qu'il nécessite un petit coup pouce. Mon côté émotif. Je l'accepte entièrement, devant un film ou dans une situation qui ne nécessite pas le besoin de prestance. Autrement, que ça m'énerve d’être aussi émotive dans ces moments où la prestance apporterait du poids, car je ne gère pas tout le temps mes larmes et ma colère. J'apprends à les doser habilement, ce qui n'est pas toujours simple.  Surtout lorsque je suis touchée en plein coeur ou déstabilisée, c’est mon côté sensible. Pour autant je ne manque pas de répondant, même au bord des larmes, je suis pugnace. À la maison, je suis maniaque sur les bords, mais notre chez nous n’est pas non plus une maison d’exposition, j’ai besoin de vie, autant que de rangement. Simplement chaque chose à sa place et une place pour chaque chose. Pourtant si c’est quelque peu déplacé, je n'en fais pas un fromage.

Née prématurément une nuit du printemps 1987, mon père ris grand soin de moi, alors que les médecin sauvait ma mère. Bien des années plus tard, j'ai appris que ma mère avait demandé à ce que l'on s'assure que je sois saine et sauve avant de s'assuré de la même chose avec elle. Et si mon père aurait préféré ne pas choisir, il prit grand soin de moi, veillant sur moi dans ma couveuse, priant pour ma mère. S'il était à mes côté, me tenant comme il le pouvait ma petite main, faisant même du corp à corps avec mon petit être, je ne trouvais de repros qu'une fois dans les bras de ma mère. Nous sommes depuis cette nuit là, une famille très soudée.  

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai été une enfant à part. Passant plus de temps avec mes parents qu'à me faire des amis. Des amis je m'en suis fais deux des mon premier jour de prés maternelle, deux qui me suffise et emplisse ma vie de bonheur. Je chérie leurs présences dans ma vie depuis. Comme les 3 inséparables que nous sommes. Nous sommes à ce point inséparable que nous partageons un secret. Nous partageons un secret dont l'un de nous n'a même pas conscience de faire partie. Puisque un de nous trois n'est même pas dans la confidence.

Tout était, et est, si naturel pour moi avec eux. Mes années d'enfance, d'adolescence, et d'écoles ont été grâce à leurs compagnie bien agréable. Ma vie n'a jamais été un parcours de santé, j'avais des difficulté à l'école. Je n'étais simplement pas faite pour le système d'apprentissage que l'on m'imposait. Une chose que j'apprenais encore bien des années plus tard. Mais les jumeaux étaient à mes côtés, alors j'ai tenu bon grâce à eux, à leur aides, à leur mots, à leur simple présence.  Réussissant à décrocher sans trop de problèmes, à l'étonnement de certain et à ma grande surprise mon diplôme de fin de secondaire. Je ne suis pas allée à l’université, n’ayant pas envisagé de me diplômer cette année-là. Vous comprenez j'avais été terriblement brûlée par la méchanceté des personnes qui m’ont longtemps chahuté. Ne restant pas improductive, je m'occupais à la maison, aidant maman à gérer la maison et la vie familiale. C'est grâce à elle que je sais tout ce que je sais, elle qui m'a donnée cette passion pour la cuisine et les pâtisseries.  Puis un jour un des jumeau m'a demandé en mariage et j'ai dis oui. Notre relation semblait avoir évolué différemment de celle avec Nathéo. Tout aussi proche, mais de manière différente et complémentaire...
Si tout en Nathanaël m'attirait au point que je l'ai désiré lui en tant qu'époux. Ce qui m'avait attiré en mon future mari, c'était sa facilité à aller vers les autres, Il semblait se sentir à sa place en toute situation, il savait quoi dire, quoi faire et surtout comment s'y pendre. Il vendait du rêve...
Avec le temps j’ai réalisé, que tout ceci n’était que de la poudre aux yeux. Si en publique, il était attentionné, doux, à la maison, son comportement était différent. Il a toujours été un mari bien veillant, il est vrai que je manquais de rien. J'avais tout pour être heureuse, j'étais la femme au foyer la plus heureuse, mais être une potiche ne me satisfaisait guère et si je me cultivais que je billais parfois, je sentais qu'il me manquait quelque chose.

J’ai ressentis alors le besoin de travailler, financièrement j'aurais pu m'en passé mais dépendre de l'un de mes ami devenu mon époux ne me convenais pas. J'avais besoin de plus.  J’avais besoin de me sentir une personne à part entière. Alors après avoir réfléchis et passé quelque teste, j'ai finis par faire un stage au près d'un ami de mon père agent immobilier. Ce stage m'a fait prendre conscience que j'étais faite pour ce métier. C'est ainsi que je me suis lancé dans la formation AEC – Courtier en immobilier, qui a duré 7 mois. Puis je suis devenue employé de l'ami de mon père, avant de prendre mon envole en devenant un de ses concourants et consœur.

Au début travailler, me suffisait, mais au fond quelque chose me rongeait… Et si j'ai longtemps gardé ce poids en moi, j'ai finis par me confier à son frère... Lui qui était si attentif et attentionné. C'est alors que j'ai prononcé ces mots qui ont changé ma vie à tout jamais "Ce n'est pas lui que j'aurais du épousé mais toi" Des mots qui résonnent encore aujourd'hui et moi. Ce soir là nous avons cédé à une pulsion. Moi cédant à la tendresse qu'il me manquait, ne m'inquiétant guère de fauter, pensant impossible de tomber enceinte  de Nathéo, pensant mon mari fertil.... Deux hommes pour une femmes, je sais très bien ce que vous vous dites...  J'aurais dû divorcé et refaire ma vie... Mais je suis tombée enceinte, persuadée que j'étais enceinte de mon époux... Alors je suis restée mariée, incapable d'arrêter ma liaison avec son frère. Je mérite le pire, je sais... Mais c'est plus fort que moi.

Depuis 5 ans je suis la maman d’une merveilleuse petite fille pleine de vie et adorable, bien qu’elle ai son petit caractère. J’essaie d’être une maman attentive et à l’écoute. Mais aussi une maman un peu amie, qui donne à sa fille l’envie de se confier, et d’être elle même, quoi qu’on en dise. Nous passons beaucoup de temps ensemble des que possible, en activité extrascolaire, ou à pâtisser et cuisiner, comme je le faisais avec ma mère. Parfois même nous cuisinons et pâtissons à 6 mains.
Mon agence immobilière la SD Prestige, possède un bon carnet client et malgré la situation, j’arrive à faire de bonne vente. Pour ce qui est d'avoir blanchit de l'argent lors d'une transaction, si je l'ai fais, je n'en ai pas eu conscience. Car personne n'a pour le moment essayé à ma conaissance de me corompte. J'ai beau habité à Westmount je suis belle et bien consciente de ce qui se trame dans ma ville, ne faisant clairement pas partie de ceux qui portent des oeillères.

Depuis 3 mois je suis enceinte de mon second enfant, sans me douter une seconde que mon mari n'est pas le père...