Montréal de nos jours.
Cette ville, province du Québec au Canada, vieille de plus de 375 ans, fière de ses origines, qui se bat pour garder la langue française comme langue officielle, mène depuis bien des décennies une guerre contre un ennemi plus coriace. La pègre, ces voleurs et escrocs en tous genres.La mafia italienne venue s'installer dans les années 1900 a entraîné une corruption du gouvernement. Des échanges de pots-de-vin ayant faussé gravement les élections depuis… Ce gouvernement qui n'aide pas ses habitants. Le système de santé étant merdique, celui de l'éducation n'étant pas mieux. Nos enfants ayant peu d’aide et ceux handicapés encore moins. Voués à leur perte, sans aucune aide une fois adulte… En 1975, certains membres non corrompus du gouvernement ont cru avoir fait tomber la mafia, cela n’a été qu’un jeu de dupes. Puisque si le parrain Pascucci et sa «famille» sont tombés en 1975, le parrain Giovanni Marciuliano et sa «famille» dirige depuis et jusqu’à aujourd’hui, dans l’ombre, les magouilles de la mafia, détruisant peu à peu la ville. Le mal qui s’est infiltré à Montréal dans le centre-ville à l’arrivée de la mafia à Petite Italie, s’est étendu par la suite à toute la ville… Dans les années 80 les bikers et le club des «Caribou’s shadow» se joignent au joyeux bordel environnant. Mafia et Bikers se partagent depuis les trafics de drogues, alcool, salle de jeu clandestine, prostitution. Ces criminels sèment la terreur dans la ville, à coup d’intimidation et d’extorsion. SI chacun faisait son trafic sans trop de problèmes, les choses se sont compliqué lorsqu’une discorde éclata à la nomination d’une femme à la présidence des «Caribou’s Shadow», faisant naître de palpables tensions, en l’apparition des «Fire’s Coyote» présidé par un homme qui s’est senti bafoué par son ex MC (moto club). Les frictions ne sont pas prêtes de s’apaiser, l’être humain aimant compliquer les choses et préférant les conflits au bonheur. Lire l'intégralité

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