Virginia Marciuliano - Une femme qui veut vivre selon ses propre règles

Les Livres +J'ai toujours aimé lire et me plonger dans le monde de l'auteur. J'aime autant certain classique, comme des romances ou des livre fantasy et fantastique. J'adore les vieux livre, j'essaie de m'imaginer les mains entre lesquelles il est passé. J'adore l'odeur des vieux livres autant que les nouveau. Je vais vous faire une confidence, il y a en moi deux type de lectrice. Si j'achète un livre d’occasion ou si ce livre m'apporte quelque chose de fort, je peux souligner des passage et les commenter, mais jamais au grand jamais les corner. Par contre s'il s'agit d'un livre neuf ou qui a de la valeur. Je suis une psychopathe. Je m'assure qu'il soit nickel chrome, sans défaut d'impression, sans griffure ni corne ou défaut. Lorsque je prête de tels livres, je déteste qu'on les cornes, les soulignes. Mais j'ai appris à m'assouplir légèrement depuis que je travaille à la bibliothèque de Montreal. Lorsque je prête un livre d'occasion j’apprécie que l’hôte commente mes commentaires et en fasse d'autre, je m'enrichis de nos échange et argumente lorsque je ne suis pas d'accord. Par contre, je tiens à récupérer mes livre. Mes livres peuvent passer de main en mains, à condition, qu'il me revienne.
À ce point passionnée par les livre, que j'ai décidée d'en faire mon métier.
Je misais sur un métier qui me plaît plutôt qu’un métier qui rapporte. Mais le bien-être au travail, m’importe bien plus que l’argent. Certain vous diraient, que je peux me le permettre. Vrai que ça aide quelquefois, mais je tiens à vivre ma vie, avec le moins d’aide financière de ma famille.

Souvenir ollfactifs+ J'adore l'odeur de la pluie sur une terre aride. L'odeur des première pluie, après plusieurs belle journée ensoleillé… Souvenir gravé dans ma mémoire un matin de mois d'aout en Basilicate, Italie du sud, pendant mon adoléscence.

La Musique + La musique habite ma vie depuis ma tendre enfance, où ma grand mère et moi dansions sur les musique que mon grand-père écoutait. Ces musiques, souvenir de leur terre du sud de l'Italie. Musique populaire de Pouilles région d'origine de mon grand-père, avant qu'il ne aille vivre en Basilicate. Ou ces Tarentelle endiablé fort en émotion au son des incantation chantées. Ces musiques qui semblent nous transporter dans un autre monde,danse qui ressemble furieusement à une transe de possession. Danse appelée ainsi à cause de la tarentule. Les tarentelles ont en effet longtemps été associées à une pratique rituelle, dite thérapeutique... Puisque l'on racconte qu'alors la seule solution pour échapper à la mort du venin était de danser sur le rythme d'une tarentelle appropriée (il en existait plusieurs, chacune correspondant à une variété d'araignée) pour être guéris. Seule la danse faisait sortir les malades de leurs troubles.  Si j'ai grandi au son de ces musique, j'ai aussi grandis au son des musique napolitaine adoré par mon père, mais aussi de musique americaine et anglaise.

La Famille + La Famille est très importante pour les Marciuliano. La famille proche surtout, mais celle aussi au sens large. Je vous parles de ces tablés le dimanche entouré d'oncles, de tantes, et de cousins, par forcément reliés par le sang. Une danse que j'ai appris à dansé depuis ma plus tendre enfance, où l'on passe sont temps à faire des courbettes et d'étranges arrangements.  De réunions de "Famille" où d'étrange messe basse ont lieu... Je vis ces subterfuge depuis mon enfances, du moins d'aussi loin que je m'en souvienne, et j'éssaie de m'en tenir aussi loin que possible. Même si j'ai été initié à des pratiques particulière. Comme les clefs de bras et ces cours d'auto déffence, ou ces heure passés en stand de tires... Chose que je ne raconte à personne. Il y a ma vie avec ma famille et ma vie de célibataire, bibliothécaire passionnée.

M'avoir comme amie ou proche, c'est trouverer toujours une oreille attentive pour vous écouter ou une épaule pour vous épancher. Vous m'entendrez crier parfois contre des objet inanimé ou des personnes, mais ne vous arrêtez pas à ça. Car une fois sortie la colère nécessaire, je relativise comme je peux et tente de régler le problème au mieux, toujours. Ma diplomatie n'est pas ce qu'elle devrait être lors de mes discussions enflammées. Je déteste me donner en publique. En publique j'ai de la présence et reste diplomate tout en disant ce que je pense et en pensant ce que je dis. Je suis une personne très ouverte et tolérante. Vraiment ! Sûre que je choquerais certain et en surprendrai d'autre, mais je suis faite ainsi. Je suis naturel et entière, je ne peux donc pas me cacher sous des courbettes et compagnie lorsque les choses me révulsent. Un conseil, ne me mentez pas, je saisis ce qui échappe à la plupart des gens. Je vois lorsqu'il y a anguille sous roche, lorsqu'on essaie de me cacher une chose. Il faut savoir que lorsque quelque chose, quelqu'un ou une cause me tient à cœur, je suis exaltée, c'est mon coté volcanique. Je suis une personne très tactile, mais ne vous en faite pas trop, je ne le suis pas avec ceux qui ne sont pas bons avec moi. Certaines personnes sont taquines, mais m'aime, alors je me permets d'être tactile avec eux. D'autre le sont aussi et notre côté tactile s'amplifie. Mais jamais je ne vais mettre une personne mal à l'aise, non tactile, en la touchant.

Je suis née dans une famille mafieuse, n'en ayant pas prit conscience avant bien des année, malgré les tablés des dimanches et les rassemblements parsemées de murmure de ci de là.... Mais de mon enfance je retiens surtout ses heures passer à danser jusqu'au petit matin, ne faisant qu'une petite sieste avant de repartir de plus belle... Mais aussi les rires et les moments joyeux passés avec les miens, grand parents, parents, tantes, oncles, cousins et cousines, sans oublié cette arrière grand-mère rencontré un soir de fiançailles. Passés aussi à manger des choses que l'on ne me fera plus toucher aujourd'hui malgré une certaine nostalgie de ces mets délicieux qui ont remplit mon enfances de madeleine de Proust.

Grandir dans cette famille italienne, n'a pas été tous les jours faciles. Car si nos concitoyens restés au pays ont évolué avec leur temps, nos familles émigrés en Amérique, au Canada et Québec, elles ont longtemps et encore un peu aujourd'hui, perduré des façons de faire, traditions et agissement d'un autre temps... Certains ayant plus de mal que d'autres à laisser le passé au passé. Faire entendre qu'une femme ne se se résumait pas à trouver un mari et faire des enfants, n'a pas été simple.

Si mon père a toujours été plus tendre avec moi, si nous avons une relation assez fusionnelle sur bien des points, il a aussi sont caractère, et bien des fois j'ai été hanté par ses réactions, lui qui peu être si sanguin.... Particularitée, que j'ai héritée de lui, moi qui suis si volcanique parfois.

Je le remercie de m'avoir préparé à la vie comme il l'a fait, même si je me serais passé parfois de certaine de ses préparation... Au moins je suis une femme débrouillarde qui n'a pas vraiment froid aux yeux.

Pour autant, je suis une femme assez rêveuse qui aime se perdre dans ses livres, et qui s'y perd encore aujourd'hui dans la grande bibliothèque où je travaille. Je suis une femme souriante qui aime partager et échanger avec certain des lecteurs qui passe les porte de la grande bibliothèque. J'adore aussi renseigner et conseiller, faisant parfois découvrir des livres qui m'ont marqué à tout jamais.

Je suis devenue une femme pleine de vie, qui adore croquer la vie à pleine dents et qui profite de chaque instant qui lui donné, mais aussi qui aime parfois mettre ses musique qui réveille la pugliese, et calabraise qui est en moi. Mettant la musique fermant les yeux et me laissant aller à danser comme si personne ne pouvait me voir...

En parlant de mes racines, si elle sont profondément italienne, il  ya toujours des femmes qui sont venues entremêler leurs origines à celle des hommes de la familles. Mon arrière grand-mère est bulgare, ma grand mère est italienne de calabre, et ma mère elle possède des origines allemandes, suisses et anglaise.

Ma mère et moi avons connu des moments difficile dans notre relation, ne comprenant pas toujours le comportement de mon père à mon égard, lui qui me passait beaucoup de chose selon elle. En grandissant notre relation est devenu celle que nous avons aujourd'hui, nous sommes ainsi devenu assez complice avec le temps. Aimant partager des moments toutes les deux.

Aujourd'hui mes parents semblent me laisser vivre ma vie comme je l'entends, ce qui n'a pas été simple lorsque j'ai voulu prendre ma dépendance, en quittant la maison familiale. Je dis semble, car parfois j'ai l'impression que certains sbires de mon père garde un œil sur moi...

S'il y a bien une personne sur qui je peux compter pour m'aider à mettre mes parents dans ma poche lorsque j'ai besoin de le faire, c'est Luca Petrocelli. J'ai connu Luca alors que j'étais toute jeune, lui qui qui était en couple avec une des filles de la famille Marciuliano. Malgré leur séparation, il est resté dans les petits papier de la famille. Depuis il est devenu tel un grand frère pour moi, qui ne veut que mon bonheur. Pour lui la famille est sacré et il me considère comme tel. Lui qui a su faire taire les mauvaise langue lorsque par le passé on a voulu me blesser ou me faire passer pour ce que je n'étais pas. Il est mon allié, un ami cher c'est sur, mais les choses sont claire entre nous. Il n'y aura rien entre nous. Il est simplement quelqu'un sur qui je peux vraiment compter.

Autrement, bien que consciente de ce qui se trame, j'essaie de vivre ma vie simplement, entourée de ma familles, d'amis et de connaissances. Essayant d'échapper à ce que pourrait être ma vie si je m'investissais dans les affaires familiales. Préférant les fuir. Je m'imagine parfois une vie bien loin de tout ce mal, avec cet homme qui m'intrigue autant qu'il m'attire. Cet homme écrivain qui vient à la bibliothèque pour nourrir son imagination depuis des années maintenant. D'ailleurs, il fait parti intégrante de mon décore quasi quotidien, depuis que je foule le sol de cette bibliothèque en tant que bibliothécaire apprentie. Les jours où il est absent il manque étrangement à ma vie...